L’état de santé de l’ancien vice-ministre des Hydrocarbures, Moussa Mondo, se détériore dangereusement à la prison centrale de Makala. Malgré les alertes répétées du personnel médical, aucun transfert vers un hôpital de la ville n’a encore été autorisé.
Condamné à 20 ans de servitude pénale pour « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort » de son épouse Alisa Khadidja, de nationalité Malgache. Ce cadre du PPRD avait été jugé en procédure de flagrance.
Cette situation soulève de nombreuses interrogations, d’autant que les raisons de ce refus restent inconnues. En attendant, l’état de Moussa Mondo continue d’inquiéter ses proches et les défenseurs des droits humains, qui appellent les autorités à agir avant qu’il ne soit trop tard.
Rédaction